Indirizzo:: B.P. 505 KisanganiTipo di attività: curare dei bambini della strada e dare un aiuto pastorale e sociale nella prigione di Kisangani. Opera della diocesi affidata ai Sacerdoti del Sacro Cuore
Responsabile: p. Giovanni PROSS
Nome dell'opera: Centre SIMAMA
Responsabile: p. Martin KONINGS
Tipo di attività: centro per la rieducazione di handicappati fisici e prossimamente anche mentali soprattutto bambini. (Il rapporto su quest'opera lo pubblicheremo in una altra edizione)
LA MAISON SAINT LAURENT
Natura - Obiettivi - Servizi
L'opera Saint Laurent è stata fondata a Kisangani (Congo) nel 1989 dai Sacerdoti del S.Cuore. Ha questi obiettivi:
La sede è a Kisangani, Avenue Matabo, 8 - B.P. 505, Comune di Makiso. È stata avviata per una durata illimitata.
1. Il servizio alla prigione
Questo servizio fa parte delle attività della Caritas diocesana. Il p. Cappellano svolge il ministero religioso (celebrazione dell'eucaristia la domenica; sacramento della riconciliazione, ecc.) e un servizio sociale (contatti e ascolto dei detenuti e dei loro familiari; interventi presso le autorità per situazioni particolari; corsi di alfabetizzazione, ecc.).
Nel servizio sociale, il Cappellano è aiutato da un catechista e da un gruppo di laici che ogni domenica lo accompagna alla prigione.
Questi laici, una decina di cristiani (uomini e donne volontari), preparano i pasti alla Maison St. Laurent e loro stessi poi ogni domenica li distribuiscono ai detenuti dopo la Messa.
Il catechista, che ha una sovvenzione dalla Caritas diocesana, prepara le celebrazioni, dà lezione di catechismo due volte alla settimana, e ogni martedì mattina prepara e distribuisce ai detenuti la "bouillie" (farina di soja, farina di mais e zucchero).
Ogni quindici giorni i detenuti ricevono un sapone, dono del Cappellano.
I mezzi che consentono di offrire questi servizi provengono dagli interessi de un fondo, costituito dai Sacerdoti del S.Cuore e gestito dall'Economo generale, il quale ogni sei mesi trasmette gli interessi all'Economo della Provincia SCJ del Congo.
In casi particolari e secondo le possibilità, l'opera St. Laurent aiuta ex-carcerati per i quali è molto difficile ritornare nel loro villaggio.
Il Cappellano presenta un rapporto sulle attività nella prigione ad ogni riunione della commissione della Caritas diocesana. Quanto alla contabilità, il Cappellano, pur informando la commissione della Caritas, fa invece un rapporto dettagliato ai suoi superiori e, in particolare, all'Economo provinciale, giacché i soldi vengono dalla Congregazione dei Sacerdoti del S.Cuore.
Per la nomina del Cappellano e per altri rapporti con la Caritas diocesana e le autorità del luogo, se segue lo statuto della commissione diocesana della Caritas.
2. I RAGAZZI DI STRADA / NELLA STRADA
Il Problema:
Il fenomeno è caratterizzato da due fattori:
A questo fenomeno la "Maison St. Laurent" risponde in modo assai limitato con due tipi d'intervento:
A. L'ambiente aperto
Si tratta di un servizio a favore:
B. L'internato
Per essere ammesso, un ragazzo può presentarsi lui stesso al direttore; oppure è incontrato nella strada da un educatore; oppure è accompagnato da un suo amico conosciuto agli educatori.
Dopo un primo dialogo per conoscere la sua situazione nella strada, un educatore sarà incaricato di avviare un'inchiesta. Lui contatterà la famiglia, il quartiere, gli amici, la scuola, la parrocchia.
E se l'età non è troppo avanzata e lui manifesta il desiderio di ricuperare la scuola e adattarsi alla casa, gli viene offerta la possibilità di un percorso che inizia con l'alfabetizzazione ad ambiente aperto. Durante questa prima tappa si cerca di approfondire la conoscenza del ragazzo (età, situazione familiare, grado di scolarizzazione, che genere di vita conduce, il gruppo che frequente, da quanto tempo vive nella strada...).
Una volta verificati i motivi per i quali ha abbandonato la famiglia e costatato la rottura avvenuta, se il ragazzo prende interesse alla scuola e manifesta il desiderio di essere aiutato, gli viene offerta la possibilità di vivere come interno, ma a condizione che passi gli week-end in famiglia (se essa o uno dei suoi membri è conosciuto).
A questo punto si fa intervenire un giudice con la funzione di "giudice dei minori". Questi verificata l'autenticità dell'inchiesta fatta, affiderà il ragazzo alla "Maison St. Laurent" a norma del decreto-legge del 1950. A partire da tale atto del giudice, il ragazzo seguirà il regolamento della "Maison St. Laurent"
Adresse:: B.P. 505 KisanganiType d'activité: prendre en charge les enfants de la rue et fournir une aide pastorale et sociale à la prison de Kisangani. Je vous joins un document décrivant l'oeuvre de Saint Laurent en plus de détails.
Responsable: le père Giovanni PROSS
Oeuvre appartenant au diocèse mais confiée au Prêtres du Sacré-Coeur
Nom de l'oeuvre: Centre SIMAMA
Responsable le père Martin KONINGS
Type d'activités: centre de rééducation pour handicapés physiques avec extension d'ici peu vers les handicapés mentaux surtout enfants. (Le rapport sur cette oeuvre on le donnera dans une prochaine occasion)
LA MAISON ST. LAURENT
L'oeuvre dénommée St. Laurent a été fondée à Kisangani par les prêtres du S. Coeur au Congo dans l'année 1989 avec les buts:
d'aider les prisonniers libérés à regagner leur village de soulager, par un service spirituel et social, les détenus de la Prison Centrale de Kisangani et ceux de la Prison de Osio.
De connaître, recenser et accueillir les mineurs qui vagabondent dans la ville ou qui ont déjà eu des problèmes avec la justice, en vue de favoriser leur insertion dans la vie scolaire ou du travail, dans leur contexte familial et dans la société.
Il s'agit d'une ouvre propre aux prêtres du S. Coeur, qui l'entendent gérer en communion avec les préoccupations du diocèse, mais suivant les options propres de la Congrégation.
Son siège est établi à Kisangani, av. Matabo, nº 8, B.P.505, dans la Commune de la Makiso L'oeuvre St. Laurent a été créée pour une durée illimitée.
1. LE SERVICE A LA PRISON
Ce service fait partie des activités de Caritas Diocésaine. Le p. Aumônier accomplit un service spirituel célébration de l'Eucharistie le dimanche, célébration du sacrement de la réconciliation ... et un service social écoute des détenus, contact entre ceux-ci et leurs familles, intervention auprès des autorités compétentes dans des situations particulières, organisation des cours d'alphabétisation... .
Dans ce service social l'aumônier est épaulé par le catéchiste et par une équipe de laïcs qui l'accompagnent chaque dimanche à la prison.
Cette équipe, formée par une dizaine de Chrétiens hommes et femmes bénévoles, prépare la nourriture à la maison St. Laurent et se charge de sa distribution aux détenus chaque dimanche, après la Messe.
Le catéchiste, payé par Caritas diocésaine, prépare les célébrations, donne la catéchèse deux fois par semaine, prépare et distribue aux détenus le bouillie farine de soja + farina de mais + sucre, chaque mardi matin.
Tous les quinze jours les détenus reçoivent un savon donné par l'aumônerie.
Les moyens qui permettent d'offrir ces services viennent des intérêts d'un fond établi par les prêtres du S. Coeur, géré par l'Econome général, qui transmet les intérêts tous les six mois à l'économe de la province SCJ au Congo.
Exceptionnellement, selon les possibilités, l'oeuvre de la maison St. Laurent aidera des détenus libérés qui ont des difficultés particulières à regagner leur village.
L'aumônier présente un rapport sur les activités à la prison à chaque réunion de la commission de Caritas diocésaine. Pour ce qui concerne la comptabilité, tout en renseignant la dite commission, venant l'argent de la Congrégation des prêtres du S. Coeur, l'aumônier fera un rapport détaillé à ses supérieurs, notamment à l'économe provincial.
Pour ce qui concerne la nomination de l'aumônier et pour d'autres rapports avec le diocèse et les autorités du lieu, on renvoie au .statut de la commission diocésaine de Caritas.
2. LES ENFANTS DE LA RUE / DANS LA RUE
INTRODUCTION:
Le phénomène est caractérisé par deux composantes:
La maison St. Laurent répond à ce phénoméne d'une façon limitée, par deux genres d'intervention:
a. Le milieu ouvert.
Il s'agit d'un service en faveur
b. L'internat
Un garçon peut se présenter à la maison ou bien rencontrer l'éducateur dans la rue, ou encore être accompagné par un ami connu per les éducateurs.
Après un premier dialogue qui permettra de connaître sa situation dans la rue, on déclenchera une enquête, menée par l'éducateur chargé de cette tache. Celui-ci touchera la famille, le quartier, les amis, l'école, la paroisse.
Si l'âge n'est pas trop avancé et s'il manifeste l'envie de récupérer et de s'adapter à la vie du home, on lui présente une première trajectoire qui part de l'alphabétisation au milieu ouvert. Dans cette première étape on approfondit la connaissance du garçon (âge, niveau de scolarisation, situation familiale, mode de vie, appartenance à l'un ou à l'autre groupe, durée de permanence dans la rue...).
Une fois vérifié la raison de l'abandon de la famille et après constatation de la rupture avec celle-ci, si le garçon s'accroche à l'école et manifeste le désir d'être protégé, on lui offre la possibilité de vivre au home, mais à condition qu'il passe le week-end en famille (si elle ou un des ses membres existe).
On saisit alors un juge faisant fonction de juge de mineurs. Il vérifiera l'authenticité de l'enquête et confiera le garçon à la Maison St. Laurent selon le décret de loi de 1950. A partir de cet acte du juge, l'enfant suit le règlement de la Maison St. Laurent.
Province Work:
Province Work: St. LaurentWork belonging to the diocese but in the care of the Priests of Sacred Heart:
Address: B.P. 505 Kisangani
Responsible: Fr. Giovanni PROSSType of activities:
- To take care of street children
- provide pastoral and social help to inmates of the jail in Kisangani.
SIMAMA Center
Responsible: Fr. Martin KONINGSType of activities:
- center of rehabilitation for the physically challenged.
- Soon there will be an expansion to include the mentally challenged, especially children.
The Priests of Sacred Heart founded St. Laurent in Kisangani in 1989. It goals are:It is a work to the Priests of Sacred Heart who wish to manage it in association with the goals of the diocese, while at the same time following those of the Community.
- To help freed prisoners return to their villages and offering spiritual and social services to the convicts in the Central Jail of Kisangani as well as those in Osio;
- To work with street children or those who have had problems with the law in order to encourage them to pursue their education as well as assist them in reinserting themselves into their families and society.
The Kisangani addres is: av. Matabo, n°8, B.P. 505, in Makiso Township.
1. The Jail
This service is part of the activities of the diocesan Caritas. The priest chaplain offers spiritual services (eucharistic celebration on Sundays, celebration of sacrament of the reconciliation, etc.) as well as social services (listening to the prisoners, contact between them and their families, intervening with the relevant authorities in particular situations, organization of teachings of literacy, etc.).
The chaplain is aided by a catechist and a team of laymen and laywomen who also accompany him every Sunday to the jail.
The team, aided by about ten volunteers prepare the food at the St. Laurent house and take charge of its distribution to the prisoners every Sunday after the Mass.
The catechist, paid by the diocesan Caritas, prepares the celebrations, catechizes twice a week, prepares and distributes mush (flour of Soya + flour of corn + sugar) to the prisoners every Tuesday morning.
Every fifteen days each prisoner receives soap from the chaplain service.
St. Laurent is funded from the interest fund established by the SCJ, managed by the general treasurer who transmits the interest every six months to the scj provincial treasurer in the Congo.
From time to time St. Laurent will help freed prisoners who have some special difficulties returning to their village.
The chaplain presents a report about the activities at the jail during every meeting of the diocesan Caritas Commission. As far as financial accounting is concerned, since money comes from the scj community, the chaplain, while keeping the diocesan commission informed, makes his detailed report to his superiors and to the general treasure.
As far as the appointment of the chaplain and other relations with the diocese and the local authorities are concerned, one refers to the statute of the diocesan Caritas commission.
2. Street Children
Introduction
The phenomenon is characterized by two components:
Street children who pass all their life (night and day) in the central market, next to the hotels or some diamond counters (beggars, apprentices thieves, vagrants...)
Street children (referred to as children in the street) who frequent the central market, streets or some other places where they can manage to do odd jobs but return home in the evening (shoe polishers, sweepers of the stores, sellers of water.)
This phenomenon of street children and children in the street is growing in Kisangani. They are induced by several reasons of which the mains are:
Increasing misery of some families which often provokes its break up;
The SERVICE of St. LAURENT HOUSE
- Family mobility;
- Small diamond traders who encourage begging;
- The education crisis
- Above all the lack love.
The house St. Laurent offers limited assistance to this phenomenon by two kinds of intervention.
a. The opened enviornment (le milieu ouvert)
This service favors:
Concretely, St. Laurent offers them literacy classes (four days a week at two different levels); two teachers are responsible for the program.
- Street children/childen in the street who want to learn to read and to write but who are so advanced in age that they cannot enroll in school;
- Street children /childen in the street who want odd jobs as a means of survival;
- Street children /childen in the street who like their liberty and who do not accept the restraints of family life.
b. The residency
A boy can present himself to the house or meet the educator on the street, or again be accompanied by a friend known to the educators. After an initial interview to ascertain the situation, the program will start an inquiry by contacting the family, district, friends, school, and the parish of the boy.
If the boy is not too advanced in age, and if he fervently wants to recover and adapt himself to the life at St. Laurent, he will begin in the open middle program. This initial stage allows the program to know the individual better and ascertain facts such as: age, schooling level, domestic situation, fashion of life, adherence to either group, length of his stay in the street, etc.
Once the facts have been verified concerning the reason for deserting home life, and after observing the effects of the, the boy will be offered the possibility of living at St. Laurent provided that he stays in school, he truly wants the shelter offered by St. Lauren, and that he spends the weekend with his family (if he indeed has one).
Finally the case is presented to a judge who will legally commit the boy to St. Laurent.
initial English translation by Leopold Mfouakouet (CM)a student of the English as a Second Language ProgramSacred Heart Monastery/Sacred Heart School of TheologyHales Corners, WI
The Province does not have anyone per se responsible for Justice & Peace work.
It does have prime responsibility for a diocesan program JED (Youth in Difficulty). Fr. Bernard Groux is its director. JED's mailing address is:
Jeunesse en Difficulté
% Bernard Groux, scj
B.P. 1007 -- Bafoussan - Camerun
Monday to Friday a, non-secular, human and vocational formation is offered
to youths, street children and families in difficulty. Courses are offered
in woodworking, welding, masonry, metalwork, bricklaying, bookbinding and
sewing. Sewing is offered especially for handicapped youth.
LA MAISON ST. LAURENT
A obra, chamada Maison St. Laurent, foi fundada em Kisangani pelos Sacerdotes do Coração de Jesus no Congo, em 1989, com as seguintes finalidades:
Sua sede é a Kisangani, Av. Matabo, nº 8, B.P. 505, no distrito de Makiso.
A obra St. Laurent foi criada por uma duração indeterminada.
1. O SERVIÇO NA PRISÃO
Este serviço faz parte das atividades da Caritas diocesana.
O padre capelão realiza o serviço pastoral da celebração da eucaristia aos domingos e celebração do sacramento da reconciliação... e um serviço social, escuta os presos, entra em contato com suas famílias, intervém junto às autoridades competentes em casos específicos, organiza cursos de alfabetização...
No serviço social, o capelão é ajudado por um catequista e uma equipe de leigos que o acompanham cada domingo à prisão.
Esta equipe, formada por uns dez cristãos, homens e mulheres voluntários, prepara a alimentação na Maison St. Laurent e se encarrega de sua distribuição aos presos, cada domingo depois da Missa.
O catequista, pago pela Caritas Diocesana, prepara as celebrações, dá catecismo duas vezes por semana, prepara e distribui com os presos "le bouille" (sopa de farinha de milho, soja e açúcar), toda terça-feira de manhã.
Cada quinze dias os presos recebem um sabonete dado pela capelania.
Os meios financeiros que permitem prestar esses serviços vêm dos juros de um fundo criado pelos Sacerdotes do Sagrado Coração, administrado pelo Ecônomo Geral, que transfere os juros cada seis meses ao Ecônomo da Província SCJ no Congo.
Excepcionalmente e segundo suas possibilidades, a obra da Maison St. Laurent ajuda os presos libertados, que têm dificuldade especiais, a voltar às suas aldeias.
O capelão apresenta um relatório das atividades na prisão em cada reunião da comissão da Caritas diocesana. No que diz respeito à contabilidade, embora informando tal comissão, já que o dinheiro vem da Congregação dos Sacerdotes do Sagrado Coração, o capelão faz um relatório detalhado aos seus superiores, de modo especial ao Ecônomo Provincial.
No que diz respeito a nomeação do capelão e para as relações com a Diocese e as au-toridades locais, segue-se o estatuto da comissão diocesana da Caritas.
2. OS MENINOS DE RUA E NA RUA
O problema:
O fenômeno é caracterizado por duas componentes:
- os meninos de rua: que passam toda sua vida (dia e noite) no mercado central, junto dos hotéis ou dos negócios de diamantes (mendigos, pequenos ladrões, vagabundos...).
- os meninos na rua: que freqüentam o mercado central, a rua ou outros lugares onde se viram com diversos serviços, mas que retornam à casa de noite (engraxates, varredores de armazéns, vendedores de água...).
Este fenômeno dos meninos de / na rua, aumenta em Kisangani e tem várias causas; as principais são:
A Maison St. Laurent responde a este fenômeno, de forma limitada, com dois tipos de ação:
a. O regime aberto: externato
Trata-se de um serviço em pró:
b. O internato
O menino pode se apresentar na casa ou encontrar um dos educadores na rua, ou ainda ser trazido por uma amigo conhecido dos educadores.
Depois de um diálogo inicial, que permitirá conhecer sua situação na rua, faz-se uma pesquisa, orientada pelo educador encarregado desta tarefa. Ele entrará em contato com a fa-mília, o bairro, os amigos, a escola, a paróquia.
Se a idade do menino não é muito alta e se manifesta o desejo de se recuperar e de se adaptar à vida do internato, lhe é apresentado um roteiro inicial que começa com a alfabetiza-ção no regime de externato. Nesta primeira etapa se procura conhecer melhor o menino (idade, nível de escolaridade, situação familiar, modo de vida, pertença a um ou outro grupo, tempo de permanência na rua...).
Uma vez verificada a razão do abandono da família e depois de constatada a ruptura com ela, se o menino se interessa pela escola e manifesta o desejo de ser protegido, lhe é ofe-recida a possibilidade de viver no internato, mas com a condição de que ele passe o fim de semana com a família (se ela ou um de seus membros existe).
Busca-se um Juiz de Menores, ele verificará a autenticidade da pesquisa e confiará o menino à Maison St. Laurent (segundo o Decreto Lei de 1950). A partir deste ato do Juiz, o menino segue as normas da Maison St. Laurent.